DECOUVERTE DE LA MUSIQUE ET DE LA DANSE TRADITIONNELLE PALESTINIENNE

AL QUDS

Le groupe de la recherche musicale et folklore palestinien Alquds (Jérusalem) a été fondé à Paris en 2008. Il est composé du luthiste tunisien Maher Belhaj et la chanteuse palestinienne Abeer Hamad. Le groupe est complété par le violoniste Salem Bnouni et le percussionniste Elies Ghourabi. Il participe à toutes les actions qui peuvent nous amener en Palestine, dans des moments d’émotions partagées et présente avec subtilité la musique et chant traditionnel palestinien.
Le groupe Alquds est considéré comme l’un des meilleurs ensembles de musique classique arabe et engagée pour la qualité de son interprétation de la musique du Proche et du Moyen Orient, et aussi son ouverture sur la musique mondiale.
Ce groupe possède, en outre une maîtrise, des modes de la musique arabe (Almaqaam) et ce supplément d’âme nécessaire à la synchronisation entre la voix et l’instrument. Motivés par leur passion de la musique savante et la musique palestinienne, ils ont participé à plusieurs journées musicales et culturelles dans le monde entier.
PALESTINE
Transmettre en héritage aux générations à venir, aux enfants de la diaspora l’histoire et la culture de la Palestine à travers la Dabké, dans le plaisir de danser cette danse que partagent hommes et femmes.
Créée en avril 2009 et déjà présente dans plusieurs manifestations artistiques, la Troupe est formée de filles et garçons, d’origine palestinienne et diverse vivant en France. Ils se retrouvent régulièrement, depuis, pour apprendre, répéter les pas et les gestes transmis en patrimoine du terroir.
Ils veulent exprimer leur amour à leur terre comme l’ont fait leurs parents ou grands-parents, citadins, paysans pour fêter la fin de la moisson, pour célébrer les mariages et les occasions de joie collectives….C’est l’image d’un peuple qui vit, qui a le sens de la fête et l’hospitalité. Un peuple dynamique et cultivé qui continue à vivre malgré les difficultés.
Alors le meneur à la tête de la rangée, fier et debout comme l’olivier millénaire de cette terre, lance un pas, déploie ses bras en l’air comme les branches, fait tournoyer un foulard dans sa main, aussitôt suivi par les des danseurs qui piétinent le sol en rythme.
C’est l’ode joyeuse et l’attachement vital à la terre qui sont portée dans les gestes de la

Dabké palestinienne.

Le mot Dabké vient de l’action de préparer les éléments pour construire les toits des maisons en paille et terre battue pour être compacter uniformément.
Cet événement d’entraide est nommé awneh mot qui signifie aider. En arabe signifie littéralement «cachet sur les pieds. »
Dans la célèbre chanson Ala Dalouna toute cette action est racontée.

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