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Nous ne laisserons pas la Palestine disparaitre de la carte !

Afin de réagir au scandaleux plan Trump et à la position de la France, signez et partager par tous les moyens possibles (email, facebook, twitter…) la pétition « Nous ne laisserons pas la Palestine disparaitre de la carte ! » : http://chng.it/p2LkVztq8z

Texte de la pétition

Nous ne laisserons pas la Palestine disparaitre de la carte !

Trump vient de rendre public son « plan » qui soutient l’annexion par Israël de Jérusalem-Est, du Golan, de la vallée du Jourdain et de toutes les colonies israéliennes en Palestine occupée. Tout ceci est absolument contraire aux résolutions de l’ONU !

En saluant cette initiative, le gouvernement français se déshonore.

La France doit se rappeler qu’elle est la patrie des droits de l’Homme et cesser immédiatement de se rendre complice des violations du droit par Trump et Netanyahou.

La France, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, doit prendre des initiatives pour la mise en oeuvre des droits du peuple palestinien et non être complice du plan qui entend les enterrer.

>> Lire le communiqué de l’AFPS

>> Lire la position de la France

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« L’avenir de la Palestine est menacè » Initiative de la Ligue des Droits de l’homme de Bernay/Pont-Audemer

L’AFPS de Rouen participera à l’initiative de la Ligue des Droits de l’Homme de Bernay-Pont-Audemer organisée le 25 Janvier à partir de 14H30 à la Salle d’Armes de Pont-Audemer, place du Général De Gaulle

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Lettre à Mme Fatou Bensouda : ouvrez l’enquête de la CPI sur la Palestine

A l’appel de l’organisation néerlandaise Rightsforum, plus de 200 organisations dont l’AFPS ont signé une lettre à Mme Fatou Bensouda, procureure de la Cour Pénale Internationale, pour qu’après 5 ans d’enquête préliminaire, elle ouvre sans délai une enquête officielle et à grande échelle sur la situation en Palestine. Cette lettre lui a été remise le 10 décembre, à l’occasion de la journée internationale des droits de l’Homme.

Cour pénale internationale
A l’attention de Mme Fatou Bensouda, procureure en chef

Oude Waalsdorperweg 10
La Haye
Pays-Bas

Amsterdam, le 10 décembre 2019

Chère Mme Bensouda,

Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée des droits de l’homme, les signataires de cette lettre vous demandent d’ouvrir sans plus tarder une enquête officielle et approfondie sur la « situation en Palestine ».

Depuis janvier 2015, la Cour pénale internationale (CPI) mène une enquête préliminaire sur la « situation en Palestine », axée sur les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité commis dans les Territoires palestiniens occupés. Malheureusement, près de cinq ans après le début de l’enquête, vous n’êtes toujours pas parvenu à une conclusion. Ce retard est inexplicable.

C’est aussi irresponsable. Alors que l’enquête préliminaire traîne en longueur, les crimes continuent. La colonisation israélienne des territoires occupés – un crime de guerre en vertu du Statut de Rome – s’accompagne d’une violation systémique et d’une violation des droits humains de millions de Palestiniens. L’occupation israélienne continue de tuer des Palestiniens.

En ce qui concerne Gaza, vous avez vous-même déclaré que les violences israéliennes contre les civils palestiniens pouvaient constituer des crimes de guerre, comme cela pourrait être le cas pour les activités violentes des groupes palestiniens. Néanmoins, nous assistons encore chaque semaine à la mort ou aux blessures de civils palestiniens.

L’absence d’enquête officielle, c’est clair, a alimenté la culture de l’impunité qui existe déjà. Mais elle affecte également l’intégrité et la crédibilité de la CPI, et donc la confiance du public dans un ordre juridique qui fonctionne.

Au cours des dernières années, plusieurs vous ont demandé de finaliser l’enquête préliminaire. Parmi eux, des organisations de défense des droits de l’Homme, une large délégation civile palestinienne et le ministre palestinien des Affaires étrangères Riad Malki. En septembre 2018, 25 organisations internationales vous ont exhorté à agir. Vous n’avez pas répondu.

C’est pourquoi nous réitérons leur appel aujourd’hui, à l’occasion de la Journée des droits de l’Homme : Mme Bensouda, ouvrez sans plus tarder une enquête officielle et approfondie sur la « situation en Palestine ».

Au nom des organisations signataires,

Sincèrement vôtre,

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ACTION URGENTE – Interpellez vos député·e·s pour protéger votre liberté d’expression

Le 3 décembre prochain sera présenté à l’approbation des membres de l’Assemblée Nationale une résolution dont l’objectif final est, sous couvert d’antisémitisme; de faire taire ceux qui s’opposent à la politique d’Israël et défendent les droits nationaux des palestiniens.

Nous vous proposons donc de vous adresser à votre député pour manifester votre opposition à ce projet de résolution qui porte atteinte au principe fondamental de la liberté d’expression en vous rendant sur le site de la Plate-forme des ONG pour la Palestine  :

https://plateforme-palestine.org/ACTION-URGENTE-Interpellez-vos-depute-e-s-pour-proteger-votre-liberte-d

Déclaration de Bertrand Heilbronn, président de l’AFPS

Il est temps de renoncer à la résolution Maillard

Ensemble contre l’antisémitisme et toutes les autres formes de racisme, refusons toute manipulation.

Après 6 mois de report, une proposition de résolution « pour lutter contre l’antisémitisme » a été mise à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale pour le 3 décembre prochain. Peu différente de celle qui avait déjà été reportée le 29 mai, cette nouvelle « proposition de résolution Maillard » a recueilli un accueil plus que mitigé, y compris dans les rangs de la majorité. Les médias s’en sont fait l’écho.

Comment pourrait-il en être autrement, dès lors que les députés se sont correctement informés de la nature de ce qu’on leur propose ? Comment accepter en effet qu’un sujet qui devrait rassembler, – la lutte contre l’antisémitisme et toutes les autres formes de racisme -, soit manipulé et transformé en sujet de division, pour assurer l’impunité de l’État d’Israël et tenter de faire taire les critiques qui lui sont adressées ? Si la résolution fait autant polémique, c’est en effet parce qu’elle n’est pas ce qu’elle prétend être. La Plateforme des ONG pour la Palestine, forte de ses 39 organisations, en a assuré le décryptage dans une brochure qui a été envoyée à tous les députés.

S’il faut lutter de manière résolue contre l’antisémitisme comme contre toute autre forme de racisme, les voies proposées par la résolution sont pour le moins contestables. En contradiction avec les études publiées sur le sujet, elle fait d’abord de l’antisionisme la cause principale de l’accroissement des signalements d’actes antisémites et une « expression moderne de l’antisémitisme ». C’est oublier un peu vite que l’antisionisme est une opinion politique, longtemps majoritaire dans les communautés juives européennes. Si le terme de « sioniste » peut parfois masquer des expressions antisémites, les tribunaux savent l’apprécier sur la base des lois existantes, et il est objectivement impossible d’aller plus loin sauf à vouloir contrôler les pensées de chaque citoyen !

C’est là qu’intervient la « définition IHRA de l’antisémitisme », dont l’adoption est au cœur de la « résolution Maillard », ainsi que les exemples associés à cette définition, qui ont pour unique objet de faire planer le soupçon d’antisémitisme contre toute critique de l’État d’Israël et de sa politique, alors que celle-ci est largement condamnée par la communauté internationale.

Ces « exemples » n’ont jamais été adoptés par les organismes internationaux, qui en ont très vite compris les dangers. L’assemblée plénière de l’Alliance internationale pour la Mémoire de l’Holocauste, qui a dû adopter cette « définition » en mai 2016, a cependant pris soin d’en exclure les exemples, seulement présentés « à titre d’illustration » et « pouvant aider l’IHRA dans son travail ». La déclaration du Conseil de l’Union européenne du 6 décembre 2018, élaborée sous une pression constante de Benyamin Netanyahou, n’a été adoptée qu’en retirant toute référence aux exemples, comme l’a rappelé officiellement le représentant permanent de la France auprès de l’Union européenne le 19 décembre 2018.

Nos députés se retrouvent donc avec entre les mains un objet tendancieux et franchement dangereux, promu par les lobbys de l’extrême-droite israélienne, avec des « exemples » problématiques censés faire l’éducation de nos professeurs, de nos magistrats et de nos policiers ! Partout où elle a été adoptée, notamment au Royaume-Uni en décembre 2016, cette « définition IHRA » a été utilisée conformément à sa finalité : non pas pour combattre l’antisémitisme, mais pour intimider et tenter de faire taire toute expression ou action critique vis-à-vis de l’État d’Israël et de sa politique : annulation de débats dans des universités, pressions sur des professeurs d’université et sur des responsables politiques, annulation d’événements comme en août dernier pour un rallye cycliste caritatif dans une commune du Grand Londres.

Devant la décision récente de la Cour de Justice de l’Union européenne, confirmant l’obligation d’un étiquetage conforme des produits issus des colonies israéliennes, les masques tombent : le gouvernement israélien qualifie cette mesure d’antisémite et discriminatoire, et son porte-parole évoque à ce sujet la définition de l’IHRA, alors que Donald Trump affirme que la colonisation de la Cisjordanie n’est pas illégale. Est-ce vraiment l’intention de l’Assemblée nationale d’adresser au gouvernement israélien un nouveau signal d’impunité dans de telles circonstances ?

C’est ici et maintenant qu’il faut marquer un coup d’arrêt. Ici, parce que la France a une longue tradition de lutte inclusive contre toutes les formes de racisme, portée par de grandes associations de la société civile et un organisme consultatif de l’État, la Commission nationale consultative des droits de l’Homme, qui a marqué son opposition constante à l’adoption de cette définition. Ici, aussi, parce que nos député.e.s sauront exercer librement leur mandat, en refusant les injonctions, les pressions ou les propos injurieux.

Maintenant, parce qu’il serait irresponsable de diviser la France sur une cause nationale, en y mêlant les intérêts particuliers d’un État tiers dont les pratiques contraires aux droits humains sont largement condamnées. Il ne devrait pas être question d’instrumentaliser un sujet aussi important que la lutte contre l’antisémitisme pour accorder un supplément d’impunité à l’État d’Israël, qui s’apprête à pousser une loi d’annexion de la Vallée du Jourdain. Ce n’est pas le moment non plus de se lancer dans une concurrence victimaire entre les différentes formes de racisme, qui toutes, doivent être condamnées dans un même élan républicain.

Il est temps, il est grand temps d’abandonner la « proposition de résolution Maillard » et d’arrêter de diviser la France au profit de l’impunité d’un État tiers. Il est temps au contraire de mobiliser notre pays au service des valeurs largement partagées que sont l’égalité, la liberté, la justice, et le refus absolu du racisme sous toutes ses formes.

Paris, le 22 novembre 2019

Bertrand HEILBRONN, Président de l’A.F.P.S.

 

 

 

 

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SOIREE-RENCONTRE AVEC UN REALISATEUR PALESTINIEN DE GAZA

Le mercredi 20 Novembre à 20 H 00, à la Maison des Associations,22 bis rue Dumont D’Urville Rouen droite
Soirée-rencontre avec Iyad Alastall
Jeune réalisateur palestinien de Khan Younes dans le territoire de Gaza. Créateur d’un web site d’information «Gaza stories »,  projet multimédia palestinien, en français et en anglais, qui veut montrer au reste du monde la résilience des Palestiniens de Gaza et comment ils arrivent à vivre au quotidien

Les vidéos  de «Gaza stories» sont autant d’ « instantanés » inattendus dans une bande de Gaza surpeuplée, polluée, assoiffée… où deux millions de personnes sont enfermées depuis 13 ans dans une prison où même le ciel est  contrôlé par Tsahal. Gaza qui manque de tout mais où les gens continuent à vivre, à travailler, à s’éduquer, à donner de la joie aux enfants, à pratiquer du sport, faire de la  sculpture, de la peinture…

Iyad Alastall est également l’auteur de « Razan, une trace du papillon », documentaire consacré à Razan Al-Najjar, jeune infirmière palestinienne de 21 ans, qui a été tuée le 1er juin 2018, lors de la Grande marche du retour, sur la bordure orientale de Khan Younès, dans le sud de la Bande de Gaza alors qu’elle travaillait comme secouriste.

Les principales réalisations vidéos d’Iyad seront projetées pendant cette soirée  qui se terminera  autour d’un buffet préparé par l ‘AFPS de Rouen .
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Torturé dans les prisons israéliennes, Samer al-Arbeed doit être libéré

Samer al-Arbeed a été arrêté mercredi 25 septembre. Il a été transféré à l’hôpital suite à de graves tortures dont il a été victime pendant son interrogatoire.
L’Association Adameer, association palestinienne de défense des droits des prisonniers politiques, a publié ce 29 septembre, le communiqué suivant.

« Le prisonnier Samer al-Arbeed a été transféré à l’hôpital suite à la torture qu’il a subie lors des interrogatoires.

Selon un avocat d’Adameer, les autorités d’occupation israélienne ont transféré Samir à l’hôpital la nuit dernière après que son état de santé se soit sérieusement détérioré. Samer est inconscient et souffre de multiple fractures.

La vie de Samer est maintenant menacée à cause de la torture subie durant les interrogatoires et l’occupation israélienne en porte l’entière responsabilité.

Addamer appelle à sa libération afin qu’il puisse recevoir les soins adaptés. »

Il est malheureusement un habitué de la détention administrative qu’il a connue à 3 reprises. La première durant 47 mois de janvier 2003 à novembre 2006, la deuxième durant 17 mois de mars 2007 à août 2008 et la troisième, prévue pour 4 mois mais raccourcie à 2 mois, du 23 septembre au 21 novembre 2013. Rappelons que le recours à la détention administrative par Israël est contraire au droit international. Elle maintient en détention sans motif les prisonniers pour des périodes reconductibles à l’infini.

L’AFPS exprime solennellement son indignation devant les pratiques de l’occupant israélien. Israël a pratiqué sur Samer al-Arbeed des méthodes de torture non employées depuis des décennies. Il est arrivé à l’hôpital dans le coma, des fractures sur tout le corps. Un avocat d’Adameer a pu le visiter. Il rapporte que l’état de Samer est extrêmement préoccupant et qu’il n’est pas en état de parler.

Israël doit être condamné clairement pour ces actes de torture et de barbarie.

La communauté internationale, y compris le gouvernement français, doit prendre ses responsabilités et mettre Samer al-Arbeed sous sa protection. Il ne doit pas retourner dans les griffes de ses tortionnaires. L’AFPS demande qu’il doit être libéré sans délai. Les autorités françaises doivent intervenir dans ce sens au plus haut niveau.

Le Bureau national de l’AFPS

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Festival de cinéma « Regards sur la Palestine » : ça commence le vendredi 4 Octobre à 18 H 30 à l’Omnia

Vendredi 4 octobre à 18h30, sur l’esplanade du cinéma  OMNIA, rue de la République inauguration avec intervention d’un danseur palestinien étonnant et un apéro géant.

A 20h un film primé à Cannes 2019 en avant-première : « It must be heaven » d’Amos Gitai, débat avec Samuel Drouaire rédacteur en chef de Télérama sur « la production et la réalisation du cinéma palestinien ».

Suite du programme le  samedi  5 à 10h30 jusqu’à 22h30a vec, en soirée, un débat sur la situation palestinienne lavec Bertrand Badie,  professeur à Sciences Po Paris

Le dimanche 6,  de 10h30 à 12 H 30 : court-métrages

Le programme :

 

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Festival « Regards sur la Palestine » 2019 : dates à retenir

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