Mobilisation pour la libération de Ahed Tamimi

Envoi massif de cartes d’anniversaire pour Ahed Tamimi !

Le 31 janvier Ahed Tamimi aura 17 ans.
C’est ce jour que le procureur militaire a choisi pour la convoquer pour la 5ème fois devant la cour militaire israélienne.
Certainement pas le meilleur contexte pour une jeune de 17 ans pour faire la fête.
Nous lançons donc un appel à lui envoyer des cartes d’anniversaire dans sa prison pour lui apporter soutien et solidarité.
Vous pouvez écrire à votre gré ou joindre le texte que nous vous proposons : de préférence en Anglais [1] ou en Arabe [2]

Envoyez vos cartes à cette adresse :
Ahed Tamimi
HaSharon prison
Ben Yehuda, P.O. Box 7
40 330 Israel

Tarif du timbre : 1,30 euros

Demandons au gouvernement français d’exiger la libération immédiate de Ahed Tamimi !

Dans le cadre de la semaine internationale d’action lancée par Samidoun (du 10 au 20 janvier), écrivez au MEAE et à la Présidence :

Modèle de message :

Monsieur le Président / Monsieur le Ministre des affaires étrangères,
Vous connaissez la situation de Ahed Tamimi.
Voilà un mois que cette mineure est enfermée dans les prisons israéliennes au mépris du droit international.
Je vous demande de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour exiger de l’État israélien qu’il libère Ahed Tamimi et tous les enfants palestiniens détenus dans leurs prisons au mépris du droit international.

Signature

 

Publié dans Non classé | Commentaires fermés sur Mobilisation pour la libération de Ahed Tamimi

CAMPAGNE 2018 : JUSTICE POUR LA PALESTINE

Quelques rendez-vous pour cette année 2018

  • Jeudi 25 janvier: Café ATTAC  Jérusalem et la situation internationale. 19h, Brasserie Paul Rouen.
  • Mardi 6 février: Café du MAN : Palestine et non-violence.  18h30, Brasserie Paul Rouen.
  • Samedi 17 février: Les banques et leurs implications colonisatrices sont toujours notre cible pour œuvrer en faveur de leur désinvestissement. 1er rendez-vous.
  • Mercredi 14 mars: Conférence : « Histoires de vies, La complexité de l’identité palestinienne ». Autour du film d’Alaa Hashkar « On récolte ce que l’on sème ». 18h, Centre Georges Désiré à St Etienne du Rouvray. Débat co-animé par Tal Dor, sociologue israélienne.
  • Avril : Conférence : « Antisémitisme, antisionisme ?».
  • Mardi 15 Mai 2018: Commémoration de la Nakba, commencée en 47 et effective en 1948. Nettoyage ethnique, dépossession, déplacements forcés…
Publié dans Nos actions en France | Commentaires fermés sur CAMPAGNE 2018 : JUSTICE POUR LA PALESTINE

MAIS QUE FAIRE? NOUS, ICI, MAINTENANT?

1- Interpeler l’Etat Français pour qu’il reconnaisse l’Etat de Palestine, dans les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale.

Comment faire?    Ecrire à Monsieur le Président de la République, Palais de l’Elysée, Faubourg Saint-Honoré, 75008, Paris.   Inutile de timbrer.

2/Ne JAMAIS acheter des produits venant des colonies illégales israéliennes installées en Palestine occupée.

Comment faire?  Vérifiez la provenance de ce que vous achetez. L’UE oblige à l’étiquetage des produits.

3/ Interpelez votre banque pour qu’elle se désengage de ses partenariats avec les banques israéliennes qui trempent leurs pattes sales dans la construction des colonies illégales construites par Israël en territoire palestinien occupé.

Ces banques françaises sont: BNP, CA, SG, Banques populaires-caisses d’2pargne, Axa.

Comment faire?  Ecrivez à votre banque, locale ou départementale ou nationale ou allez voir et dites que vous ne voulez pas, en temps que client, soutenir cette colonisation.

Tract_banques_17 nov

4/ Demandez à l’Etat français la libération de Salah Hamouri, avocat Franco-palestinien, détenu indûment, sans condamnation en Israël depuis plus de 100 jours. Et la libération des prisonniers politiques palestiniens.

Comment faire? Là aussi, il faut écrire au Président de la République.

Ces actions et d’autres (moins faciles à mettre en oeuvre directement) sont détaillées dans le document ci-joint.

http://www.afps-rouen.fr/wp-content/uploads/2017/12/2017-2018-Nos-priorités.pdf

Publié dans Nos actions en France | Commentaires fermés sur MAIS QUE FAIRE? NOUS, ICI, MAINTENANT?

Environ 200 personnes hier vendredi 8 décembre 2017 pour manifester le soutien à la Palestine occupée et colonisée

Quelques articles pour faire le point

 

Trump terroriste par Denis Sieffert publié le 6 décembre 2017

Trump sur Jérusalem de B. Badie

Jérusalem

A Jérusalem-Est, la bataille des Palestiniens pour ne pas être chassés

Les Nations-Unies ne doivent pas céder aux pressions israéliennes pour enterrer la base de données de ceux qui profitent des colonies

Publié dans Articles de presse, Non classé | Commentaires fermés sur Environ 200 personnes hier vendredi 8 décembre 2017 pour manifester le soutien à la Palestine occupée et colonisée

RASSEMBLEMENT LARGE PACIFISTE ET LAÏQUE ce VENDREDI 8 DECEMBRE à 17h30 PLACE DU METRO THEATRE DES ARTS ROUEN

ANNEXION DE JERUSALEM-EST

Dénonçons, avec la plus grande force, la décision de D. Trump de reconnaître Jérusalem capitale unifiée d’Israël en y transférant l’ambassade des USA.

Pour rappeler les fondements du droit international et de la justice pour la paix, dénoncer l’hypocrisie de notre gouvernement qui aurait dû reconnaître l’Etat de Palestine…

APPEL A UN RASSEMBLEMENT LARGE
ce VENDREDI 8 DECEMBRE à 17h30
PLACE DU METRO THEATRE DES ARTS

Prise de paroles, tracts

COLLECTIF ROUENNAIS pour une PAIX JUSTE et DURABLE entre PALESTINIENS et ISRAELIENS

Publié dans Non classé | Commentaires fermés sur RASSEMBLEMENT LARGE PACIFISTE ET LAÏQUE ce VENDREDI 8 DECEMBRE à 17h30 PLACE DU METRO THEATRE DES ARTS ROUEN

07/12/2017 : Jérusalem : Défendre le droit contre le coup de force

COLLECTIF ROUENNAIS POUR UNE PAIX  JUSTE ET DURABLE ENTRE PALESTINIENS ET ISRAELIENS

 

Le statut de JERUSALEM est celui d’un statut international tant que de vraies négociations de partage et de paix, fondées sur le respect du droit international n’auront pas abouti.

 

  • l’État d’Israël n’a jamais respecté aucune résolution de l’ONU, et particulièrement celles concernant Jérusalem, qui est au cœur de tous les projets israéliens visant à transformer l’identité de cette terre et à en déposséder les Palestiniens.

 

  • Ce transfert de l’ambassade a pour objet la reconnaissance de facto de l’annexion de Jérusalem et son « unification ».

 

  • Les mises en garde ne se comptent plus, mais nous craignons qu’elles aient peu d’effet. Macron regrette mais ne condamne pas.

 

  • Depuis quelques mois, une configuration inédite se met en place au Moyen-Orient. Hier ennemis mortels, voilà que l’Arabie saoudite et Israël unissent aujourd’hui leur influence à celle des États-Unis pour convaincre – ou plutôt pour contraindre – les dirigeants palestiniens d’accepter un nouveau plan de paix.

 

  • Que propose-t-il ? Un État palestinien composé de plusieurs fragments de la Cisjordanie, sans continuité territoriale, et une souveraineté limitée des Palestiniens sur leur propre territoire. La majorité des colonies actuelles de Cisjordanie restent en place, sous contrôle israélien. Jérusalem devient la capitale d’Israël mais pas celle de l’État palestinien éparpillé, qui pourrait être installée à Abou Dis, une agglomération de l’est de Jérusalem, mais isolée de la ville par le mur de séparation. Autre disposition du plan : aucun droit au retour, même symbolique, ne sera reconnu aux réfugiés palestiniens et à leurs descendants.

 

L’ETAT FRANÇAIS DOIT D’ABORD   

       RECONNAÎTRE ENFIN FORMELLEMENT

                   L’ETAT PALESTINIEN

 

                                                               Vendredi 8 décembre 2017

Un peu d’histoire : Le plan de partage de l’ONU en 1947 prévoyait la partition de la Palestine en trois entités: un État juif, un État arabe et Jérusalem formant un « corpus separatum » sous régime international spécial administré par les Nations unies. Ce plan a été accepté par les dirigeants sionistes mais rejeté par les leaders arabes. Suite au départ des Britanniques et à la première guerre israélo-arabe, l’Etat d’Israël est créé en 1948, et fait de Jérusalem-Ouest sa capitale, Jérusalem-Est étant alors sous contrôle de la Jordanie. Israël s’empare de Jérusalem-Est au cours de la guerre des Six-Jours en 1967 et l’annexe. Une loi fondamentale entérine en 1980 le statut de Jérusalem comme capitale « éternelle et indivisible » d’Israël.

La position israélienne : Le gouvernement israélien l’a rappelé mardi: « Jérusalem est la capitale du peuple juif depuis 3.000 ans et la capitale d’Israël depuis 70 ans ». Cela vaut pour tout Jérusalem, Ouest et Est, ville « réunifiée ».

La position palestinienne : L’Autorité palestinienne, interlocutrice de la communauté internationale et d’Israël, revendique Jérusalem-Est comme la capitale d’un futur Etat palestinien indépendant. Le Hamas islamiste, qui ne reconnaît pas Israël, évoque Jérusalem tout court comme la capitale d’un futur Etat de Palestine.

Celle des Etats-Unis : En 1995, le Congrès américain a adopté le Jerusalem Embassy Act appelant les Etats-Unis à déménager l’ambassade de Tel-Aviv à Jérusalem, « capitale de l’Etat d’Israël ». La loi est contraignante pour le gouvernement américain. Mais une clause permet aux présidents de repousser son application pour six mois. Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama ont systématiquement actionné la clause tous les six mois. M. Trump l’a fait pour la première fois en juin 2017, à contrecoeur.

La communauté internationale : Sa position n’a guère changé depuis des décennies. L’ONU ne reconnaît pas l’annexion de Jérusalem-Est, qu’elle considère comme territoire occupé. Elle a déclaré la loi israélienne de 1980 comme étant une violation de la loi internationale. Pour elle, le statut final de Jérusalem doit être négocié entre les parties. La vision internationale largement répandue reste celle de Jérusalem comme la capitale d’Israël et d’un Etat palestinien indépendant. La résolution 478 de l’ONU en 1980 appelait tous les pays ayant une mission diplomatique à Jérusalem à l’en retirer. Treize pays (Bolivie, Chili, Colombie, Costa Rica, République dominicaine, Equateur, Salvador, Guatemala, Haïti, Pays-Bas, Panama, Uruguay, Venezuela) ont déménagé leur ambassade à Tel-Aviv, où se trouvent celles des autres pays.

La singularité russe : Les médias israéliens ont fait grand cas en 2017 d’un communiqué du gouvernement russe disant qu’il considérait « Jérusalem-Ouest comme la capitale d’Israël ». Le document, salué par une partie de la classe politique israélienne bien que dépourvu de véritable conséquence concrète, reconnaissait aussi « Jérusalem-Est comme la capitale d’un futur Etat palestinien ».

DES REACTIONS

 

France : Macron qualifie de « regrettable » la décision de Trump sur Jérusalem

OLP : La déclaration de Trump sur Jérusalem « détruit » la solution à deux Etats

ONU : Le statut de Jérusalem ne peut être résolu que par une « négociation directe » entre Israéliens et Palestiniens, a déclaré mercredi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres en rappelant avoir toujours été « contre toute mesure unilatérale ». « Il n’y a pas d’alternative à la solution de deux Etats » avec « Jérusalem comme capitale d’Israël et de la Palestine », a ajouté le patron des Nations unies, après l’annonce du président américain Donald Trump d’une reconnaissance unilatérale de Jérusalem comme capitale de l’Etat juif.

TURQUIE : La décision de Trump sur Jérusalem est « irresponsable »

L’Iran : « ne tolèrera pas » la « violation » de Trump sur Jérusalem

 

ET   POUR   QUELLE    ACTION ?

Publié dans Non classé | Commentaires fermés sur 07/12/2017 : Jérusalem : Défendre le droit contre le coup de force

Jérusalem : Face au droit, le fait accompli – communiqué de l’AFPS du 6 décembre 2017

 

http://www.france-palestine.org/Jerusalem-Face-au-droit-le-fait-accompli

Le Président des États-Unis semble avoir parfaitement assimilé la politique israélienne du fait accompli. Il y a 70 ans Israël s’est emparé de la partie Ouest de la ville en violation du plan de partage décidé par l’ONU, et il y a 50 ans, il occupait Jérusalem-Est pour l’annexer et ensuite « l’unifier » pour la décréter « sa capitale éternelle, une et indivisible ».

C’est faire peu de cas des accords internationaux et des résolutions de l’ONU, qui définissent la ligne d’armistice de 1948 (la « ligne verte ») comme la frontière entre l’État d’Israël et le futur État palestinien : tout ce qui est à l’Est de la ligne verte, et notamment Jérusalem-Est, est internationalement défini comme la partie palestinienne de Jérusalem, destinée à devenir la capitale du futur État de Palestine.

Mais l’État d’Israël n’a jamais respecté aucune résolution de l’ONU, et particulièrement celles concernant Jérusalem, qui est au cœur de tous les projets israéliens visant à transformer l’identité de cette terre et à en déposséder les Palestiniens. L’accroissement à marche forcée depuis un an des constructions dans les colonies et le récent projet de loi visant à annexer toujours plus de terre autour de Jérusalem sont là pour en apporter la preuve.

Aucune ambassade n’est installée à Jérusalem justement parce que la communauté internationale ne l’a jamais reconnue comme capitale d’Israël, tant qu’un accord n’aura pas été trouvé avec les Palestiniens. Donald Trump n’en a cure, et contre vents et marées entend appliquer sa promesse de campagne de déménager l’ambassade des États-Unis à Jérusalem.

Il y a 6 mois, il déclarait vouloir donner une chance à la paix. On se demande quel sens ont les mots pour cet homme-là. Et ce n’est pas un hasard si cela se produit au moment où se dessine le plan américain pour soi-disant résoudre le « conflit israélo-palestinien ». Dans un élan de générosité rarement égalé, il propose de laisser aux Palestiniens quelques enclaves isolées les unes des autres en oubliant bien sûr les questions de Jérusalem et des réfugiés.

Ce transfert de l’ambassade a pour objet la reconnaissance de facto de l’annexion de Jérusalem et son « unification ». Ce serait un acte irréparable : bien au-delà de la colère du peuple palestinien pour qui ce serait la énième dépossession depuis 100 ans, il enflammerait le monde arabe. Les mises en garde ne se comptent plus, mais nous craignons qu’elles aient peu d’effet, tant la vraie stratégie des États-Unis et d’Israël est aujourd’hui la guerre.

Il faut arrêter ces deux là et imposer le droit. Dès le lendemain de la déclaration de Trump, et sauf surprise sur son contenu, la France devra prendre acte de l’effondrement de la crédibilité des États-Unis pour toute solution de paix, et réunir des pays européens autour d’elle pour imposer le droit. Avec, comme premier acte dans ce sens, la reconnaissance de la Palestine dans ses frontières de 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale.

6 décembre 2017
Le Bureau national de l’AFPS

Publié dans AFPS national | Commentaires fermés sur Jérusalem : Face au droit, le fait accompli – communiqué de l’AFPS du 6 décembre 2017

VALLEE DU JOURDAIN: La réalité de l’occupation israélienne.

A Rouen, voilà un an que nous avons lancé avec la FCPE 76 un projet, entièrement financé par la FCPE, de soutien à une école de Bédouins de la vallée du Jourdain. Dans le cadre de leur idée de partage solidaire de l’éducation y compris à l’international.

En plus de rapporter des photos de cette école, Didier qui revient de mission, saura nous donner des nouvelles fraîches de l’état d’esprit des Palestiniens et des Israéliens et des enjeux actuels. La situation mouvante change continuellement la donne là-bas.

Publié dans Non classé | Commentaires fermés sur VALLEE DU JOURDAIN: La réalité de l’occupation israélienne.

REGARDS SUR LA PALESTINE – 3ème festival de cinéma – 6/7/8 octobre 2017 – OMNIA ROUEN

LES HORAIRES…Le programme détaillé…Les synopsis des films…..

Publié dans Nos actions en France | Commentaires fermés sur REGARDS SUR LA PALESTINE – 3ème festival de cinéma – 6/7/8 octobre 2017 – OMNIA ROUEN

Tenez-vous informés (site de l’AFPS)

http://www.france-palestine.org/-Actualites-

Publié dans AFPS national | Commentaires fermés sur Tenez-vous informés (site de l’AFPS)